Salut,
Si tu veux raisonner en "réel", c'est à dire en photographe, et je rejoins Krul sur l'importance de ce point là, tu dois "caler" ton éclairage naturel (sun + sky) et ne plus t'en occuper. Le seul point important reste ta caméra avec ses trois réglages principaux...ouverture, vitesse et ISO (ou EV). Je passe sur la profondeur de champs (qui se détermine par l'ouverture) et sur la vitesse (qui influera sur le Motion Blur) pour n'avoir, au final, qu'un seul réglage à gérer...les ISO ou EV. En bref et en général, ton HDRI (si de bonne qualité), ta vitesse de caméra et son ouverture peuvent être laissés à leurs valeurs par défaut. Ton exposition ne va (presque) dépendre que d'un seul paramètre, les ISO...C'est chouette, non?
A noter, que depuis la version 5 de Vray, tu as un automatic exposure assez pratique pour t'aider à bien exposer ton image.
Quant aux réglages du VFB....Exposure, Curves, White Balance, Filmic, etc....Ils vont te servir à faire ce que l'on appelle du Tone Mapping. En gros, et à l'image d'un développement photo avec Camera Raw ou LightRoom, ces paramètres vont te servir à "équilibrer" ton image. Compresser les tons clairs, déboucher les zones sombres, régler tes contrastes, etc, etc...
Viennent ensuite les éclairages artificiels. Je t'invite à utiliser les sources lumineuses IES. Tu peux ainsi bénéficier des fichiers du même nom (.IES). L'interet est que ceux ci intègrent les données réelles d'intensité lumineuse, de température et de toile (forme du halo lumineux) de chaque source spécifique. Il est alors plus facile de gérer une valeur, en Watt ou en Lumen qu'une valeur générique qui n'a aucun étalonnage sur lequel s'appuyer. Il est à noter que tu peux également déterminer, pour les Vray Lights classqiues ces valeurs d'intensité et de température de couleur.
En espérant t'avoir un peu aidé dans ton workflow....